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| Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] | |
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A quels auteurs va votre votre ? | FeatherHeart. | | 0% | [ 0 ] | Dark Dragon. | | 38% | [ 3 ] | Occeline. | | 0% | [ 0 ] | Jérome Jouret. | | 25% | [ 2 ] | Arkam. | | 13% | [ 1 ] | Rahl. | | 24% | [ 2 ] |
| Total des votes : 8 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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DARK DRAGON Admin
| Sujet: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Lun 31 Aoû - 22:15 | |
| Bonjour à tous ! Tous les textes des 6 participants au Level 2 de la Course aux Rêves ont été postés ! Même si ce vote est à titre indicatif et qu'il n'y aura aucun éliminé, il est utile aux concurrents de voir pourquoi leurs poèmes ont plu, ce qui est passé et les maladresses qui ont arrêté la lecture ( rythme, etc... ). Merci de mettre en conséquent un petit commentaire avec votre vote ! NOTE : J'autorise les multi votes pour ce level, je trouve que c'est dommage de ne pas pouvoir voter pour plusieurs personnes si on aimé plusieurs poèmes ! De plus, les participants peuvent comme cela voter pour certains de leurs concurrents s'ils le veulent ! Participants au Level 2 :- Spoiler:
FeatherHeart. Dark Dragon. Occeline. Jérome Jouret. Arkham. Rahl. Nouvelles : - Spoiler:
Amour et hérésie
Une porte dérobé et un sourire en coin. Tel avait été la dernière phrase et action de ma douce harmonie, elle, qui est partie de ce monde emplis de folies. je vouais mes nuits à son rire symphonique et à ses lèvres pleines, me noyais dans son doux paradis et tuais mes phobies à l'aide de son hérésie. Assomante vie, aujourd'hui, je ne suis plus que débris. J'avoue, j'ai longtemps maudit cet homme qui me l'a prit, mais cet ennemi n'est plus que poussière tel une pauvre chimère. " tu paiera tes délits, quoi qu'il advienne" m'a-t-il dit, c'est vrai j'en traine d'ailleurs mes chaines. Sans remords, j'ai survécu jusqu'ici, mais à présent je souhaite la fin de cette douce ironie. La souffrance à longtemps rongé mon être, tuant par dépit mon esprit incompris. Elle m'avait promit des jours faciles, y croire aura été jusqu'au bout la pire de mes fantaisies. Toujours, le bleu de ses yeux me hante à m'en crever le coeur, tel le pieux fondateur de mes grandes erreurs. Les violons de ma vie n'auront été que pure aberration, comme il me l'avait prédit, je paie la totalité de mes idioties. je suis partis loin de cette cacophonie qui me sciait la tête, elle, souveraine de ma grande dette. Je suis dès à présent ce que j'ai toujours fuis, pauvre fou en quête d'un pardon à cause de mes viles actions. Je renie mes méfaits et défait ce qui a été fait, en sombrant dans cette douce nuit qu'est la fin de ma vie. Comme je te l'ai promis, ma chérie, nous serons à nouveaux réunis. je te dédit donc mon dernier sourire en coin qui caresse de près mes grandes faiblesses et t'ouvre une fois encore la porte dérobée de mon coeur, que jusqu'ici j'avais protégé avec fureur.
- Spoiler:
A vous, Madame.
Une porte dérobée et un sourire en coin. Voile d'utopie plausible aux reflets amoureux, voile d'utopie rêveuse aux arcs langoureux. Je voudrais te voir comme je te vois maintenant, belle et resplendissante, me volant mon coeur à chaque battement, irradiant mes pensées de ton âme d'érable, et chatouillant mes yeux de ta douce amertume. Tes lèvres me murmurent des mots sans sens et que je prends pourtant doucement avant de les comprendre, tes lèvres si tendres que j'aimerais parcourir du bout de mes doigts maladroits, tes lèvres si lointaines qu'à peine j'aperçois. Ton regard me perd, et je ne sais répondre à ces questions silencieuses, ces questions que tu me poses du bout de ta parole. J'ai envie d'y répondre, mais j'ai peur de savoir, et je ne le veux pas. Ton regard me perd, et je ne pense plus, ou plutôt plus qu'à toi. Nos doutes se mélangent et paraissent certitudes, nos peurs se mêlent et semblent alors bien minces. Mais déjà tu t'envoles à nouveau, tu t'enfuis par cette porte que je sais si distante, cette ouverture fugace qu'on appelle l'absence, et le vide m'emplit comme une chape de nuit. Tu n'es pas vraiment là, pas encore, et le néant revient.
Une porte dérobée et un sourire en coin, une bouche frémissante quand tes yeux me sourient. Je t'emmènerait danser, oui danser une valse, rien que nous deux, un tête à tête à soyeux, un tête à tête à deux. Je te prendrai la main, doucement, effleurant tes doigts de satin. Je regarde ton visage, et tes lèvres m'interrogent. Un, deux trois. Je te vole un baiser, me le permettras-tu ? Jamais tu n'as été aussi resplendissante que tu l'es maintenant, dans cette robe noire aux reflets flamboyants. Jamais tu n'as été aussi belle que je te vois soudain, ton corps contre le mien et moi trop loin de toi. Un, deux, trois. Nos pas se mêlent, s'emmêlent, s'entre-mêlent. Tu glisses dans mon âme, je te rattrape à temps. Tout s'efface peu à peu, la musique est tangible, la lumière un peu floue, et mon coeur un peu fou. Il n'y a plus que toi, plus que toi et tes yeux de velours. Je veux t'emmener loin, là où nous ne pouvons aller qu'à deux, là où tout n'est rien est que rien est tout. Ferme les yeux. La danse continue, et le ciel est azur. Nous virevoltons dans un arc de feu, sous une pluie battante qui ne te touche pas., sous une grêle ardente qui ne te brûle pas. Tes cheveux sont emplis de cette rosée céleste, qui éclaire ton coeur et chavire le mien, qui éclabousse la danse et ne s'arrête pas. Les dernières notes se meurent, la musique revient. Une porte dérobée et un sourire en coin.
- Spoiler:
Dernière édition par Dark Dragon le Sam 5 Sep - 11:02, édité 1 fois | |
| | | DARK DRAGON Admin
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Lun 31 Aoû - 22:17 | |
| - Spoiler:
Dossier 144
— Un sourire mademoiselle ! En coin ! Pas de porte dérobée ! Coin, coin, comme les canards…! Je vous aime, je vous déteste. Je vous adore.
Pourtant il avait suffit de trois mots pour réveiller dans la mémoire d’un jeune garçon son horrible passé. « Un sourire mademoiselle ! » Pourtant le jeune Frédéric n’avait pas voulu que ça remonte à la surface. Il pensait que certaines trappes dans sa mémoire devaient pour toujours rester closes. C’était pour cela qu’il y a trois ans, il avait décidé de ne plus parler, de ne plus jamais dire qu’il souffrait. Oh… mais le pire, c’était qu’il souffrait énormément et tous les jours. Oui, le jeune Frédéric se prenait parfois pour un ange. Il savait charmer les demoiselles, les rendre folles, mais sa vie n’était qu’un éternel silence, voué à… rien. Alors ce jeune garçon savait qu’il allait mal, mais il gardait son sourire, cet éclat de son âme déchirée, torturée et brûlée à petit feu… mais que c’était-il passé, il y a trois ans, pour que ce jeune enfant décide de ne plus ouvrir la gueule ? Il avait Aimé une fille, elle s’en foutait de lui. Elle lui avait brisé le cœur, et comme un doux enfant, il était retourné chez lui. Les cheveux hirsutes, les yeux rougeoyants, les genoux tremblants et le regard perdu dans un vide. Un vide qui depuis tant d’années s’était installé bien confortablement, comme un virus progressif. Le charme avait quitté ses mots, ouvert ses maux, congelé son cœur.
UN SOURIRE MADEMOISELLE !!
Vous comprendrez pourquoi il ne voulait décidément plus aimer. La déception, une seule fois, ça lui avait suffit. Mais enfin ? Pourquoi ne plus parler ? Et bien car n’avait plus de mots pour s’exprimer. Il s’adressait à son âme, à chaque fois qu’il la croisait dans les ruelles sombres de son esprit. Ce labyrinthe devenu immense. Alors voilà la douleur, le chagrin avaient dévasté aussi sûrement qu’un obus, le champ fertile de son cœur, c’était un No Man’s land… Tout ça pour en venir à l’ultime conclusion. Une vie qui s’en va, une vie qui se perd dans le temps, enfin, si seulement… oui si seulement ce jeune garçon eut été moins sûr de lui ! Confiant dans ses convictions… personne n’aurait pu croire que Frédéric eut été un vrai ange. Mais que par des circonstances dramatiques, un soir d’hiver, où la neige tombait drue dans les rues de Gap, il était monté tout en haut du toit de sa maison, enfin, plus simplement, la masure de ses parents. Il avait fermé les yeux. Il avait décidé de fermer la porte dérobée dans son âme et de radier de son visage ce stupide sourire en coin.
« Close your eyes » lui avaient peut-être dis les anges…
Il sauta, mais sans avoir la possibilité de déployer ses ailes. Toute cette histoire n’aurait jamais du exister, tout aurait du être perdu dans les archives de la police de Gap. Et je me demande encore si je ne vais pas mettre ce dossier à la poubelle… hm… pourquoi pas, après tout ? Que cette putain d’histoire triste parte en Enfer !
- Spoiler:
Déficience
Une porte dérobée et un sourire en coin. C'est tout ce qu'il me reste. C'est peu, à vrai dire. Mais il a bien fallu que je me reconstruise avec ça. Je n'ai pas eu le choix.
Je m'appelle Vincent -Vincent. Je n'ai pas de nom de famille. En tous cas, il n'était pas marqué sur le Dog Tag que j'avais autour du coup. Je n'ai pas non plus d'adresse, de numéro de Réserve Médicale ou de date de naissance. Les médecins estiment que je suis né dans les années 2015-2020, vu l'état de ma dentition et de mes clavicules. La belle affaire. Tant qu'on ne trouvera aucune trace de moi, mon passé se limitera à mes deux dernières années de vie. Et à ce sourire en coin.
Je ne me souviens plus vraiment du visage autour de ce sourire. Je dirais que c'était celui d'un homme, d'un homme blanc. Ça ne m'avance guère... D'ailleurs ça n'avance personne. Je ne me rappelle même pas ses yeux. Seulement ce sourire immonde. Objectivement, je ne crois pas qu'il m'a paru immonde lorsque je l'ai vu -mais le recul change bien des choses. Je ne savais pas ce qui allait se passer. Lui le savait.
Entre celui qui ignore et celui qui sait, la différence peut paraître mince, mais elle est immense. Je veux dire, l'un comme l'autre sont des êtres humains. Il n'y a pas de raison que l'un prenne l'ascendant sur l'autre. Pourtant, tout est là. Lui savait, et pas moi. Maintenant, lui vit et moi j'existe. Je suppose qu'il vit. Je l'espère, car a priori il est le seul à posséder mes réponses. J'ai mal à la tête. Toutes ces réflexions m'embrouillent. Bref, le gouffre qui nous sépare désormais, et qui sans que je le sache nous séparait déjà, ce gouffre est cristallisé, catalysé même, dans ce fameux sourire. Ce sourire qui ne me quitte plus. Ce sourire emmené, séquestré par la porte en métal bleuté, lisse, sans poignée ni écriteau, qui a suffit à séparer deux mondes -le monde du sourire, et mon monde à moi.
Voilà. En deux phrases, je viens de vous raconter ma vie. Du moins toute la première partie de ma vie. Le reste a disparu. Ni les spectromètres ondulatoires, ni les scans de Sarchwell, rien n'a pu ramener les souvenirs précédents. On appelle ça une "énigme de la science". Y'en a de moins en moins, de ce point de vue je suis un élément de satisfaction immense pour mes docteurs. C'est ironique d'ailleurs, car ce qui les réjouit tant, c'est qu'il n'y a aucune raison de se réjouir. Ils n'en savent pas plus que vous. Pas plus que moi non plus, de fait.
Et tout ça, ça me mène où ?
C'est pour cela que j'ai posté ces lignes sur Supranet. Mon blog retiendra peut-être la curiosité de gens susceptibles de m'aider à avancer. Alors, jour par jour, je vais raconter ma vie. Je veux dire, ma seconde vie. Si quelqu'un y décèle ou croit y déceler quoi que ce soit susceptible de m'éclairer sur moi-même, je lui demande expressément de me le signaler via une review -j'espère que c'est bien le nom, mon professeur informatique s'arrache les cheveux avec mon ignorance. Le dialogue est la dernière voie que je n'ai pas creusée. Soyez constructifs. Aidez-moi.
Aidez-moi à faire sortir de ma tête cet abominable sourire en coin !
[Document récupéré depuis le site "http²\\wws.framfriction-blog.com\Vincent-Doe" ; publié par le journal hebdomadaire Voix Forte le 14 septembre 2046, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat de Vincent Palerme, membre notoire de l'Académie Intergouvernementale des Sciences du Comportement.]
- Spoiler:
Une porte dérobée, et un sourire en coin. Ce fut ce qui brilla sur mon terne visage lorsque j’y entrai.
Et ça sentait bon le bonheur, ici. Cette pièce emprunte de vieillesse semblait côtoyer une nostalgie aussi terne qu’avaient été les souvenirs dont elle rappelait la vie et la douceur agréable, vaporeuses figures de ce qui semblait n’être maintenant plus qu’un rêve. L’atmosphère taciturne d’un coucher de soleil perforait la fenêtre, pénétrait dans ce vieux grenier grisâtre aux murs de poussière, et semblait vouloir asseoir sa noirceur là où se posaient mes yeux, pourtant avides de trouver enfin l’objet qui me permettrait de m’évader de mon cauchemar, puis de m’évanouir dans l’infini profondeur du monde de la réflexion et du rêve. Car il arrive un moment où, las d’une vie trop simple, malheureuse, et méprisable, l’homme, dans l’incapacité de combler son besoin de joie, de bonheur, de vérité et de justice, puise dans son imagination, sa bibliothèque, écrit ou pratique la lecture, pense à tous ceux qu’il a aimés et qu’il a quittés, dans l’espoir illogique de réduire la douleur que lui inflige de continuer à vivre malgré la décadence dans laquelle il a innocemment trébuché. J’étais désormais seul. Tout ce qui avait pu m’impressionner, et me terroriser auparavant, m’apparaissait désormais comme dérisoire ; les rivalités gentilles et les batailles pacifistes ne m’avaient nullement préparé à affronter la guerre contre la solitude. Je me consolais les jours de beau temps, où, du haut d’un arbre dont l’ombre ensoleillée réchauffait ma terrasse, deux oiseaux se posaient furtivement sur une branche, ou se mettaient tour à tour à chanter et se répondre.
C’était là une trop maigre consolation, perdue face à tous mes regrets, face à tous mes échecs, face à ce manque de vie et de chaleur contre lequel toute la nature ne pouvait rien. Dans mon cœur onirique resplendissait ce regret aux contours éplorés, aux méandres malmenés, implacables sbires du temps qui me rattrapaient sans cesse.
J’avais toujours su échapper au monde en me livrant aux rêves. Oublier le malheur grâce à cet hypothétique futur de perfection. J’avais toujours su que le charme des réalités ne se goûte jamais que dans le songe, et que pour cette raison, le seul moyen de continuer à vivre était de rêver. Rêver pour vivre et vivre pour rêver. Toujours conciliant les deux, j’avais pu passer outre ce qui eût dû me stopper net dans mon élan de zèle.
Or ce malaise naissant que j’avais négligé de par ma vie extatique et rêveuse avait alors grandi. Je n’y pouvais rien faire. Ce jour où la réalité deviendrait trop implacable pour que je puisse encore croire en mes rêves se faisait proche. Peut-être même était-il déjà passé sans que je ne m’en rendisse compte.
Chaque petite souffrance écartée se payait maintenant, au bout du chemin. Le temps avait nourri une rancœur contre moi, contre laquelle il me savait impuissant. J’appris à mes dépens qu’un rêve n’était jamais éternel.
De mon âme dévastée ne restait que les ruines du regret. Le regret de n’avoir pu me contenter de vivre le peu que j’avais, et d’avoir cru pouvoir vivre un espoir. Mais se languir est une lente désillusion qui nous conduit à un avenir rogue, et où le bilan de notre vie se fait aussi vide de sens que le peu qu’il nous en reste à vivre.
Livré au néant, livré à moi-même, je retrouvais ce jour la maison de mes souvenirs. Comme si ceux-ci m’avait chassé. Pour rien au monde je ne me fusse séparé d’elle. Seule incarnation du passé que je chérissais tant. Mais continuer à y vivre me plongeait dans un terrible puit sans fond. Celui de l’échec, de la turpitude. Mon dernier espoir, oublier.
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| | | DARK DRAGON Admin
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Jeu 3 Sep - 14:28 | |
| Le texte d'Arkham m'a vraiment beaucoup plus, c'est de loin le plus original et ça m'a vraiment séduit. Bien écrit, il se lit facilement, et c'est aussi une réflexion sur la science. Je n'hésite donc pas à voter pour ce texte. Je vote également pour Jérome, car même si je n'ai pas aimé tout le texte, il y a certaines descriptions qui valent vraiment le coup. Donc voilà ^^. | |
| | | DARK DRAGON Admin
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Sam 5 Sep - 11:01 | |
| Je ferme les votes pour poster le sujet du Level 3 dans la journée ! Classement du Level 2 Ecrivains :
1 - Dark Dragon 2- Jérome Jouret et F. Rahl 3- Arkham 4- FeatherHeart & Occeline | |
| | | ocelline99 Plume Solennelle
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Sam 5 Sep - 14:40 | |
| Hello,
comme d'habitude je suis dernière mais ce n'est pas grave. Au début je l'avais dit. Sinon qui est ce participe au level 3 ? | |
| | | DARK DRAGON Admin
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Sam 5 Sep - 14:56 | |
| Tous ceux qui le veulent. | |
| | | ocelline99 Plume Solennelle
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Sam 5 Sep - 17:13 | |
| Moi je vais jusqu'au bout je continue donc. Donc vous éliminerai que ce qui veulent pas continuer ? | |
| | | DARK DRAGON Admin
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] Sam 5 Sep - 17:15 | |
| Pour ce Level oui, par contre le sondage à la fin du level 3 éliminera bien des gens. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] | |
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| | | | Votes des membres [ Level 2 -> Sourire en coin ] | |
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