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| Des mots | |
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Lacrima Plume Solennelle
| Sujet: Des mots Dim 4 Avr - 16:54 | |
| Bon bon... Nine et Amaury, histoire qui m'obsède... Après avoir pris du recul sur cette histoire, j'ai fini par enfin me lancer dans la version définitive de Droit de Suicide (il doit être quelque part dans "Sentiments, amour, amitié"). C'est pour un concours et je dois le terminer dans moins d'un mois XD, mais j'avance assez vite, j'ai fais en une semaine 8 pages. Je met les 6 premières pages. C'est un gros bordel vers la fin, je n'écris que les grandes lignes pour approfondir après. Edit : ^^ C'est un brouillon, je posterai la réécriture surement mercredi ou jeudi. Première Partie : Le rêve.
1
Amour. Nine aimait rêver dans ce paradoxe, car, ce rêve, elle le contrôlait. Cette enfant immature l’avait compris. Mais elle oubliait que la vie n'était pas un rêve. Petite déjà, lorsque sa mère lui disait qu’elle n’avait jamais été désirée, la jeune Nine rêvait d’une autre maman, gentille, aimante, qui la gâtait (jusqu’à la moelle). Malheureusement, il y avait toujours une chute, un moment où elle se rendait compte que le rêve n’était justement que rêve. Jusque là, elle n’a jamais grandi, elle est restée dans son monde. Ne pouvant guère se rendre compte des autres dans son monde mêlé de réalité.
Le vent soufflait doucement, nous étions au début du printemps. Nine était assise sur le bord du balcon d’une maison de campagne, au près de son meilleur ami Amaury qui lisait allongé. Elle se pencha dangereusement dans le vide. - Tu fais quoi si je lâche ? Si je tombe ? - Tu ne le feras pas. Elle se redressa et le fixa. Il était resté, là, entrain de lire. - Tu n'en es pas capable. Je te connais assez pour le savoir, tu n'es pas aussi conne pour te suicider comme ça. Arrête de jouer à l'intéressante, si tu t'ennuies je te fais la lecture. Nine se leva, emporta un châle et parti dehors, dans le jardin. Nine aimait ces provocations, voir Amaury apathique devant elle. Elle se demandait souvent s'il l'aimait vraiment, si elle ne l'agaçait pas avec ses histoires, sa vie. Peut-être aussi parce que lui ne disait presque rien de la sienne, il lui en donnait quelques brides lorsqu'ils se disputaient comme pour dire : regarde comment ma vie n'est pas meilleure, alors tais-toi. Mais le peu de confiance que Nine avait en elle, menait souvent les autres à la mettre en marge. C'était une enfant de quinze ans. Les seules personnes qu'elle ait vraiment aimé n'étaient qu'Amaury et Léon. Qu'en dire de sa mère, de son père, de sa famille ? Pas autant, pas aussi fort, car aussi il y avait une souffrance, une haine de cette famille qui l'avait souvent rejeté, méprisé. Une douleur qui restera longtemps chez Nine, peut-être toute sa vie. Mais elle n'avait pas à se plaindre, il y avait pire, il y a toujours pire. (?) - Mais c'est quand même dur.
2
Léon. Nine aimait rêver de ce garçon complètement bombardé du cerveau, complètement dans son monde et totalement ambitieux, car elle l'aimait. Mais peut-être que tout ça n'était qu'un véritable rêve ? Léon, Nine l'avait rencontré sur internet. Quelle blague ! Mais nous étions et sommes à la génération des personnes qui se rencontrent à travers un écran. C'était son premier amour. On avait beau lui raconté qu'il y aurait mieux, elle l'avait rêvé, et quoi de plus idéal que dans un rêve ? Mais il y a eu ce soir d'octobre 2007 où il lui dit : « M'autoriseras-tu, un jour, à poser mes lèvres contre les tiennes ? » C'est ça, la différence entre l'homme et la femme. Lui, cette question n'en n'était qu'une toute simple, gentille. Pour Nine, c'était bien plus, elle aurait voulu ne jamais vivre l'année qui suivait tellement elle allait en souffrir, mais comparer à la légèreté de se sentir aimer, cela ne valait-il pas la peine ? Léon était quelqu'un de sage, retenu, raisonnable. Il allait doucement, et répondait à Nine qu'une belle maison ne se construisait pas en deux jours.
Elle croyait en son amour, au fils des jours, des semaines, des mois. Elle lui racontait tous ses doutes, et il la rassurait en lui disant qu'il tenait à elle, mais c'est si facile de mentir. Et c'est si difficile de vraiment connaitre une personne à travers un écran. Amaury n'aimait pas Léon, mais ils ne se connaissaient pas, il avait simplement peur pour Nine les jours où elle était triste à cause de lui, lorsqu'elle venait pleurer dans ses bras. Il redoutait sa dure chute de son petit nuage. Amaury, lui, savait comment ça allait se terminer, ils avaient trois ans d'écart et à l'âge qu'avait Léon on s'amuse plus avec les filles pour satisfaire son égo qu'autre chose. Mais Nine se demande encore comment elle avait pu être dans un tel état à cause d'une personne qu'elle n'avait jamais touché, ni ressenti. Plusieurs mois passèrent pour laisser s'installer l'été de l'année 2008, après avoir cesser le contact avec Léon à cause d'une provocation de sa part et tout un mois sans plus se parler, ils reprirent contact. Elle pense que c'est fini là, qu'ils allaient vivre un amour à peu près convenable, oui, il allait déménager près de chez elle, ils allaient enfin pouvoir se voir. Mais il y avait encore l'été à passer.
Juillet, Nine est au paradis. Léon passe son temps à vraiment oser lui dire des je t'aime, à lui faire des déclarations. La seule qu'elle retiendra sera : « Notre amour est éternel, tu le sais. Il ne te reste plus qu'à entendre, voir, toucher, goûter l'amour. » Par la suite on lui dira très souvent que ces mots paraissaient vraiment trop faux. Mais qu'en dire lorsque cette personne vous dit sans cesse qu'il vous aime et que vous le croyiez après tout ce que vous lui avait fait ? Il lui parle de septembre, le mois si proche et si loin, celui où ils se verront pour la première fois, où il partagerait une couette avec elle sur un canapé en regardant un bon film. Nine en a rêvé, elle a cru tous ses mots. Une partie d'elle pensait qu'il disait vrai, qu'il ne pouvait mentir. Une partie d'elle souffre toujours de ne pas comprendre. C'est la pire de chose de ne pas savoir, de ne pas comprendre.
Début Août. Il rentre d'une semaine de vacances, rien, rien du tout. Quelques jours plus tard, c'était clair comme si ce n'était plus Léon. « Est-ce que tu m'aimes encore Léon ? » « Bah, oui, en amitié. Et ça a toujours été comme ça, on peut s'aimer fort en amitié tu sais. » Nine se souvient toujours de ses mots. Elle était assise au salon devant la télévision, et là soudain, pleurait. Oubliait tous ces mots d'amour, tout. Il n'y avait que ces mots là, dit à l'instant. C'était insupportable, la chaleur de l'été, la peur, la honte, les larmes et cet air, elle n'en voulait plus de cet air. Elle était perdue, tout était perdu. La désillusion.
Après ça, Léon cessa peu à peu tout contact. Et Nine resta dans son rêve, toujours dans l'espoir qu'il reprendrait contact, qu'il s'excuserait. Mais il ne donna presque plus signe de vie. Peu à peu, Nine se rendit réellement compte de cette réalité.
Seconde Partie : La réalité.
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Vie. Nine n'aimait pas ce mot. Elle n'aimait pas son sens, comme sa mère le lui rappelait, elle n'était pas désirée, pas invitée à prendre vie dans son ventre. Mais était-ce une chose à dire à une enfant ? Nine a toujours mis ça sur le compte de l'immaturité de sa mère, car même si elle n'était pas voulue, elle avait pris soin d'elle. Nine n'a jamais pu se défaire de ce sentiment d'abandon qu'elle avait souvent ressenti dans sa jeune vie. Amaury lui disait qu'elle n'avait pas à se plaindre, qu'elle avait de la chance d'avoir ses parents à ses côtés, et que, lui, sa naissance, sa jeune vie étaient un vrai désastre. C'est peut-être aussi pour ça qu'elle l'aime tant, il n'est plus choqué des malheurs de la vie. Il passe son temps à les écouter, à s'en lasser, à ouvrir les yeux de ceux qu'il aime. Amaury n'aime pas grand monde, pas grand-chose. Pas la vie, mais il s'acharne à la vivre, à la narguer. Il n'aime pas l'humain et sa bêtise ; la bêtise qui avait engendré sa vie. Il n'aime que ce qui le fascine, et Nine, cette petite enfant, immature mais intelligente, le fascinait. Ils se rencontrèrent lorsqu'elle commençait à peine à connaître Léon. Elle avait treize ans à l'époque, et lui quinze ans. Il avait du déménagé de Neuilly pour vivre chez son oncle à Reims, il ne dit jamais à Nine pourquoi exactement. Amaury et elle avaient des amis en commun, et des loisirs en commun. L'écriture, la musique, l'art, la culture… Amaury était un extraterrestre pour ce petit collège. Il était cultivé, dandy dans son genre, prétentieux, mais c'était ce qui faisait son charme. Toute fois, bien sûr, pas grand monde ne l'aimait et n'aimait ses idées brutes, réfléchis, hautains, son intelligence.
Amaury était un peu le contraire de Léon. Il était tout les jours là pour Nine, alors que Léon, bien trop dans son monde, la délaissait toujours un peu plus. Bien sur, Amaury n'était pas exactement toujours là pour elle. Mais lorsqu'il lui arrivait d'être fatigué, ou pas d'humeur, il s'en excusait. Amaury était devenu la vie de Nine. Son amoureux, son père, son frère… elle l'aimait profondément. Sans lui, elle serait devenue folle, suicidaire…
Suicide. Nine, un jour, complètement perdue et désespérée, disait qu'elle n'avait pas peur de la mort, à cette heure, à ce jour. Amaury lui dit : celui qui n'a pas peur de la mort ne voit pas les enjeux réels de sa propre vie, alors arrête de dire des conneries. Elle avait quatorze ans. Elle parlait encore à Léon. La réalité c'est qu'un jour Léon est parfait, gentil, drôle ; et que l'autre, il est froid, distant, l'ignorant même. Ca revient au sentiment d'abandon que Nine garde amèrement en elle. C'est peut-être sa grande faiblesse, qu'on la laisse, qu'on ne l'aime pas et qu'elle ne comprenne pas pourquoi. Elle avait peur de se faire berner par cet homme aux douces paroles et cet Amaury qui ne cessait de lui murmurer à l'oreille tel un petit diable « Il ne t'aime pas. Il s'amuse avec toi. ». Elle coupa plusieurs fois les ponts et reprenait contact lorsqu'elle avait arrêté sa crise de névrose. Un an après tout ça, ça lui paraissait totalement absurde qu'elle ait pu faire ça. Mais en y réfléchissant plus, Léon avait le don de l'énerver, de la charrier aux années où elle était encore très prude.
Nine s'était assise sur un banc avec Amaury. Elle était un peu triste, aux bords des larmes. C'était bien après Léon mais elle pensait toujours à lui, les deux ans de leur « rencontre » approchait à grand pas. Non, elle ne versait plus de larmes pour lui, dans sa classe pratiquement tout le monde la rejetait. Un groupe de filles s'amusait à l'insulter, à l'humilier, la raison ? Nine s'exaspérait souvent lorsqu'elle tentait de leurs expliquer un cours pourtant simple. Ces filles étaient prétentieuses, idiotes et immatures, elles faisaient vivre un enfer à Nine. - J'en peux plus, une de ces connes à commencer à m'harceler au téléphone. - Réponds leurs ! Je sais pas moi, sois méchante. Je ne comprends pas, moi aussi j'ai vécu ça avec tout ces idiots au collège, mais si tu te laisses faire, tu te feras manger. Que ça soit aujourd'hui, demain, ou dans quelques années. - Je crois que tu ne me connais pas assez. Je ne peux pas, je ne sais pas répondre au tac au tac. Je bégaye souvent quand je me sens mal à l'aise. Je ne peux pas, puis je n'ai rien à leur répondre, c'est tellement idiot ce qu'elles me disent. Souvent, elles ne font que m'appeler, si je réponds : elles se moquent ; si j'ignore : elles disent que je suis attardée mentale. - Bah réponds leurs du même niveau. Ne te gêne pas, tu les connais assez pour leurs balancer des choses vaches. Ne te gêne pas. - Oui… mais. - Tu écoutes ce que je te dis ? Si tu ne le fais pas, un jour, tu finiras par te suicider parce que tu n'es pas assez méchante. Tu te feras bouffer toute crue. - Ca n'arrivera pas… - Comme tu veux, je ne serai pas toujours là pour te consoler. C'est lassant d'entendre les mêmes choses tous les jours, c'est comme une vieille personne qui se plaint tous les jours de son arthrite, au bout d'un certain temps c'est franchement chiant. Amaury était souvent dur avec Nine, mais il fallait bien qu'elle redescende sur Terre. S'il n'avait jamais fait ça, s'il n'avait jamais fait prendre conscience à Nine qu'elle était idiote, qu'il y a une réalité à la vie, elle se serait déjà pendue. Pour ça qu'il est sa vie.
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Amaury. Si Nine devait lui donner un surnom qui lui irait bien ça serait : ange déchu. A ses yeux, il était quelqu'un proche de la perfection. Mais c'était quelqu'un de tellement méprisable, il pouvait amener les autres à se confier à lui, puis lorsqu'il avait marre de ces personnes, il leurs disait tellement bien leurs quatre vérités, leurs défauts qu'ils tombaient dans une dépression. Il faisait ça simplement pour le plaisir, pour se sentir plus fort. Nine avait de la chance, Amaury l'aimait. Il était fasciné par elle, cette petite enfant si innocente, avec ce rire si particulier. Il aimait Baudelaire, Lautréamont, Houellebecq, Musset, Stocker et son ô grand dieu Oscar Wilde. Il vivait aussi un peu dans son rêve, son monde perdu dans l'esthétisme gothique, dans le m'en-foutisme total des autres. Seuls lui importaient : - Faire chier les autres. Son nombril. Et en dernier, ses meilleurs amis dont toi. Le reste… Il n'y a pas grand-chose à dire sur Amaury, il n'a jamais vraiment dit grand-chose de sa vie. Nine savait simplement de lui qu'il était né à Neuilly, qu'il était d'origine (Demander à Julien).
Poésie. C'était une belle chose que peu de monde maitrisait. Pour Nine, poésie n'est pas simplement un style de texte, mais c'est la poésie de l'art, d'un instant. Comme la peinture d'une jeune fille rougissant, cette musique, ce geste, ce paysage, cet idéal. C'était l'esthétisme. Nine avait fait de la danse, du dessin, de la photographie, du violoncelle… et elle écrivait, bien sûr. Elle cherchait cette excellence, ce beau chez elle. Elle voulait cette beauté pure, sans défaut, mais c'était une utopie, rien est parfait, seul le noir est parfait. Mais peut-être que les défauts font la beauté. Amaury et elle partageaient à peu près cette idée. Mais Léon n'était pas un homme d'art, il avait fait un peu de piano comme de nombreuses personnes, il écrivait mais pour la philosophie. Quelle drôle de chose la philosophie, beaucoup de lycéens français se passeraient de cette chose qui à premier abord n'est sans queue ni tête. Tout le monde peut se dire philosophe, mais peut-on se détacher des idées préconçues que l'on a dans notre tête depuis notre plus jeune âge ?
Silence. Nine adorait se lever avant le soleil, se lever avant tout le monde. Être seule dans la rue, pouvoir crier, faire ce qu'elle voulait et qu'elle ne soit que le seul témoin de ses actes. Souvent elle s'allongeait sur le sol devant la Cathédrale de Reims, et regardait les nuages bouger. Elle adorait voir les nuages bouger, couvrir et découvrir la lune. Elle pensait souvent à Amaury, à Léon, à son prochain amour, au futur. Le futur, elle passait son temps à imaginer son futur, ayant plus de courage dans les songes que dans la vie. C'est là, l'instant, envahi par les pensées douces et hurlantes que Nine aimait le silence. Ce silence fait de vent et d'air, là, devant un tel monument.
Bruit. Des fois Nine aimait le bruit, et exécrait le silence. Lorsqu'elle était seule, elle chantait, elle écoutait de la musique, laissait la télévision ou la radio en fond. Il y avait quelque chose de dérangeant dans ce mutisme que Nine ne supportait pas. C'était lorsqu'elle ne voulait pas réfléchir, ne plus penser à quelque chose, mais il n'y avait jamais assez de bruit, alors elle se réfugiait dans le calme du sommeil.
Dormir. C'était l'évasion préférée de Nine, non par flemmardise. Lorsque ça lui arrivait de ne plus pouvoir taire ses pensées dans le bruit, elle était déjà très fatiguée de tout et de rien. Le sommeil c'est tellement facile, c'est remettre au lendemain les problèmes, oublier où on est, qui on est.
Mots. Nine n'aimait pas réellement les mots, certains ont plusieurs sens. Et c'est si facile de jouer avec, Léon savait parfaitement jouer des mots. Sur l'ambigüité, les sous-entendus, c'est peut-être ça qui fait douter Nine sur les mensonges de ce joueur. Puis tout le monde prend les mots un peu personnellement. Il y a des mots que l'on trouve banale, et que l'autre trouve choquant, aberrant. Non, les mots sont devenus trop complexes ou trop simples. Certains d'entre eux ont perdus leurs sens. On ne dit plus je t'aime aujourd'hui comme on le dirait il y a un siècle. Maintenant c'est banale, c'est comme un enfant qui dit je t'aime sans savoir qu'il s'engage. Il n'y a plus de règle, c'est le bordel, voilà. Nine ne compte plus les fois où elle a dit je t'aime, ou on lui a dit je t'aime. Pour, au final, ne plus s'aimer. L'amour hypocrite. Depuis Léon, Nine fait attention à ses je t'aime. Elle ne le dit qu'à ceux qu'elle aime vraiment, elle l'a dit beaucoup de fois à Léon pour lui répondre souvent, elle était sincère, elle l'aimait ou croyait l'aimer. Est-ce de l'illusion ?
Dernière édition par Lacrima le Lun 12 Avr - 13:50, édité 2 fois | |
| | | Evasion Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Dim 4 Avr - 22:35 | |
| 1. - Citation :
- Cette enfant immature l’avait compris. Mais oubliait que la vie ne se vivait pas dans les rêves.
>> Je n'aurais fait qu'une phrase de tout ça. De plus, il y a une répétition. - Citation :
- Petite déjà, lorsque sa mère lui disait qu’elle n’avait jamais été désiré
>> Il me semble que le participe passé s'accord avec "été" dans ce cas. Si je ne me trompe pas, il faut donc rajouter un "e" à "désiré". - Citation :
- Malheureusement, il y avait toujours une chute, un moment où elle se rendait compte que le rêve, n’était justement que rêve.
>> J'enlèverai la virgule entre "rêve" et "n'était". - Citation :
- Elle n'avait jamais grandit.
>> Grandi* - Citation :
- Ne pouvant gère se rendre compte des autres dans son monde mêler de réalité.
>> Mêlé* Dans le premier paragraphe, il y a un problème de temps. Tu utilises de l'imparfait puis tu coupes par du passé composé pour reprendre avec de l'imparfait. A la place du passé composé, je te conseille d'utiliser du Plus-que-parfait. - Citation :
- Nine était assise sur le bord du balcon d’une maison de campagne, au près de son meilleur ami Amaury qui lisait allongé.
>> Hum... Je mettrai une virgule près de "lisait". - Citation :
- Nine était assise sur le bord du balcon d’une maison de campagne, au près de son meilleur ami Amaury qui lisait allongé. [...] Il était resté allongé entrain de lire.
>> Répétition. Et, en train* en deux mots. - Citation :
- Nine se leva, emporta un châle et parti dehors, dans le jardin.
>> partie* - Citation :
- Elle se demandait souvent s'il l'aimait vraiment, si elle ne l'agaçait pas avec ces histoires, sa vie.
>> J'mettrai "ses histoires". - Citation :
- Mais le peut de confiance que Nine avait en elle, menait souvent les autres à la mettre en marge.
>> Le peu* - Citation :
- C'était une enfant de quinze ans. Les seules personnes qu'elle ait vraiment aimées n'étaient qu'Amaury et Léon.
>> qu'elle avait* vraiment aimé* - Citation :
- Pas autant, pas aussi fort, car aussi il y avait une souffrance, une haine de cette famille qui l'a souvent rejeté, méprisé.
>> l'avait* souvent rejeté. - Citation :
- Mais elle n'avait pas à se plaindre, il y avait pire, il y a toujours pire.
>> Je n'aime pas trop le changement soudain de temps, j'aurais conjugué le dernier verbe à l'imparfait aussi. 2. - Citation :
- Nine aimait rêver de ce garçon complètement bombardé du cerveau, complètement dans son monde et totalement ambitieux, car elle l'aimait, mais peut-être que tout ça n'était qu'un véritable rêve ?
>> Phrase trop longue. J'mettrai un point avant le "mais". - Citation :
- C'était son premier amour, on avait beau lui raconté qu'il y aurait mieux, elle l'avait rêvé, et quoi de plus idéal que dans un rêve ?
>> Pour bien engager le paragraphe, j'aurais mis un point après "premier amour". - Citation :
- « M'autoriseras-tu, un jour, à poser mes lèvres contre les tiennes ? »
>> Sur* les tiennes. - Citation :
- C'est la pire de chose de ne pas savoir, de ne pas comprendre.
>> des choses* 3. - Citation :
- elle n'était pas désiré
>> Désirée* - Citation :
- Il était toujours là pour Nine, alors que Léon, bien trop dans son monde, la délaissait toujours un peu plus.
>> Si tu mets "un peu plus", je te conseille de remplacer "toujours" par "tous les jours". - Citation :
- Bien sûr, Amaury n'était pas exactement toujours là pour elle, mais lorsqu'il lui arrivait d'être fatigué, ou pas d'humeur. Il s'en excusait.
>> Benh non... "Bien sur*, Amaury n'était pas exactement toujours là pour elle. *Mais lorsqu'il n'était pas d'humeur ou fatigué, il s'en excusait." - Citation :
- C'était bien après Léon mais elle pensait toujours à lui, les deux ans de leurs « rencontre » approchait à grand pas.
>> leur* - Citation :
- Un groupe de filles s'amusaient à l'insulter, à l'humilier, la raison ?
>> S'amusait* c'est le groupe qui s'amuse. - Citation :
- C'est lassant d'entendre les mêmes choses tout les jours, c'est comme une vieille personne qui se plaint tout les jours de son arthrite, au bout d'un certain temps c'est franchement chiant.
>> tous* les jours. 4. - Citation :
- Au ces yeux, il était quelqu'un proche de la perfection.
>> A* ses* yeux. - Citation :
- C'est là, l'instant, envahis par les pensées douces et hurlantes que Nine aimait le silence.
>> envahie* - Citation :
- Ce silence fait de vents et d'airs, là, devant un tel monument.
>> Ce silence fait de vent* et d'air* - Citation :
- Sur l'ambigüité, les sous-entendus, c'est peut-être ça qui fait douter Nine sur les mensonges de ce joueur.
>> l'ambiguïté * Bon, première impression : J'ai adoré. Chaque ligne de ton texte nous enivre de ce poison qu'on appelle l'envie. L'envie de lire la suite, l'envie de parvenir à la fin. Cette fin plutôt imprévisible. Nan franchement j'ai aimé. Et puis, il y a l'innocence de Nine qui la rend si attachante. Ce personnage nous rend impatient de lire la suite et, tu vois, j'étais tellement absorbée par cette lecture, que je ne faisais plus attention à l'orthographe de tes mots ! Ce que j'ai trouvé bizarre, c'est ce changement de sujet. J'explique, tu nous racontes sa vie puis tu coupes tout pour nous dévoiler ses pensées. Les raconter au début seraient plus logique. Tu as un petit problème de temps aussi, à revoir A part quelques maladresses, ton style me plait ! Y aura-t-il une suite ? | |
| | | Lacrima Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Dim 4 Avr - 23:04 | |
| (note : je suis sur un PC chinois, et j'ai la flemme de chercher dans les configurations bordelique de Vista meme en francais cest compliquer... donc pas d'accent XD)
^^ merci beaucoup.
C'est encore le gros bordel dans tout ca parce que j'ai ecrit plusieurs pages en une semaine et je n'aime pas me relire trop avant de finir. Puis personne n'est encore passee dessus XD. Et les temps... XD les temps et la syntaxe sont mes faiblaisses... ralala.
Euh... oui ya une suite, j'ai pas encore tout fini... il me reste a ecrire la 3ieme partie (qui ne comportera plus de mots jusque la) et a tout revoir pour paufiner tout ca. J'avais prevu de faire une vingtaine de pages... et y'aura pas vraiment de chute. J'avais plus envie de faire un essai sur l'amour, la vie et la mort a ma maniere donc...
Et j'avais un ami qui m'avait beaucoup influencer dans ma facon de voir l'ecriture, qui m'a plus poussee dans le sens ou pour dire des pensees il faut donner un exemple sinon ca fait "penser à un roman de putasse sociologue de 50 balais qui écrit pour adolescentes en perte de sens" XD. Puis avec moi ca serait surement le gros bordel de ce coter. | |
| | | Lacrima Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Ven 9 Avr - 3:20 | |
| Bon, voilà la fin du brouillon... J'avais hâte de terminer pour voir plus en détails la forme, et les mots (vu que jusque là je ne savais pas quelle fin donnée à ma nouvelle...). C'est vraiment un GROS brouillon. Bonne lecture. Illusion. Le doute reste, l'amour n'est pas une chose rationnelle. Nine s'est souvent dit que peut-être qu'elle aurait été amoureuse de Léon même s'il aurait été différent. Un homme de trois ans son ainé et avec un bon humour ? Le soir où ils se sont parlé pour la première fois, Nine s'était dit qu'elle pourrait tombée amoureuse de lui. Elle s'avait très bien se convaincre. Puis à treize ans, c'était tout à fait normal finalement.
Jeunesse. Les adultes essaient toujours de la comprendre, de la saisir. Etaient-ils comme ça lorsqu'ils étaient eux même jeune ? Peut-être oui, peut-être non. Nine, après avoir suivis un débat à propos d'un nouvel essai sur l'adolescence, a fini par penser que les adultes nous mettaient tous dans le même sac. Comme si on tombait tous dans un grand spleen baudelairien, dans une indifférence complète de tout ce qui nous entoure. Ils prennent la crise d'adolescence comme une chose qui se vit de la même manière par tous les jeunes. Les films et séries américaines ne nous définissent pas. Nous ne sommes pas tous des idiots qui ne savent faire que des fautes d'orthographe et de syntaxe, des idiots qui ne font rien à l'école et qui ne pensent qu'à s'amuser, à gâcher notre vie. Bien sûr il y en a, il y a de tout, comme chez les adultes. Nous sommes déjà l'ébauche mal assuré de notre vie adulte.
Souvenir. Nine n'en avait pas réellement d'heureux. Elle ne s'intéressait pas trop à ses souvenirs, elle se contentait de vivre l'instant présent, et pensait souvent à des souvenirs comme des exemples à ses réflexions. De cette façon ca lui arrivait de se rappeler de mauvais souvenirs. Mais ces souvenirs lui revenaient souvent avec des mots, de la musique, des images ou des gestes. Certaines expressions lui rappelaient un ami qui n'avait que ça en bouche. Une chanson lui faisait ressentir les émotions qu'elle avait vécues à l'époque où elle l'écoutait en boucle… C'était comme ça que Nine ressentait ses souvenirs, par un sentiment, une personne et non un événement. Elle ne voyait pas les souvenirs comme ça, comme un acte passé dans le temps.
Personne. Nine associait beaucoup de choses à une personne, Léon. Elle n'avait cessé de pensé à lui, tous les jours, chaque heure, c'était une obsession. Elle en parlait tout le temps, sans arrêt (pléonasme indésirable ?). C'était cette enfant névrosée qui n'en croyait pas ses yeux que quelqu'un comme Léon l'aimait et qui devait dire ça à tout le monde, pauvre petite fille névrosée. Elle n'aimait pas son souvenir, elle s'était attachée à ses mots, elle avait gardé leurs longues discussions. Mais un jour elle supprima tout sur lui.
C'était un jour d'automne, Nine et Amaury déjeunaient ensemble chez elle Quelques fois elle avait encore l'espoir que Léon reprenne contact. Mais ce jour là, elle était plutôt négative. - Je ne comprends pas pourquoi il m'a fait ça. - Laisse tomber Nine, ça ne sert à rien de te torturer. Fais comme s'il était mort, si tu veux après manger, on va supprimer tout ce que tu as sur lui. Fais comme si c'était un rêve. - C'est quand même fou de rêver plus d'une année…
Troisième Partie : L'oublie.
6
Mort. C'est une peur, c'est un hasard comme nous est venu la vie. La plupart des gens ont peur de vieillir, car c'est l'épilogue de la vie et le prologue de la mort. Le corps qui nous laisse, avec ces maladies qui nous guettent, ceux qui touchent à notre cerveau notre intégrité. On a peur d'oublier et qu'on nous oublie. Nine a toujours eu peur de ça, même jeune. C'était pour ça qu'elle se perdait dans ce qui l'intéressait avant tout, en négligeant sa vie sociale, ses notes. Elle était passionnée par les sciences, les arts. Dieu qu'elle aimait passer des heures à écouter ou jouer de la musique, dessiner, rêver… rêver de son futur. Se cultiver, elle aimait passer des heures à lire des choses sur un sujet précis et ne rien faire d'autre. Mais tout ça, n'est que la négation du rêve et de la réalité. Elle vivait entre ces deux mondes et s'était toujours perdue. Nine a fini par oublier le monde autour d'elle. - Tu en penses quoi de la mort ? Nine s'était tournée vers Amaury attendant une réponse. - J'en pense que c'est triste d'y penser alors que l'on n'y est pas confronté. Tu n'as pas à y penser. Amaury pensait qu'elle avait une idée de suicide derrière la tête, mais il n'en était rien. Elle voulait savoir s'il allait lancer un grand débat sur la mort. Mais elle connaissait mal Amaury, il a toujours été un mystère pour elle. La mort, c'est peut-être la tranquillité, le vide. Mais peu de gens aiment le vide.
Rêve. On a tous des rêves, on aspire toujours à mieux. Rare sont les personnes qui ne veulent plus rien. On cherche tous quelque chose pour atteindre le bonheur. Nine son bonheur était en grande partie composé d'amour, elle a toujours voulu de l'amour. N'importe quel amour. Jeune, vers quatorze ans, elle voulait un enfant, un bébé. Cette idée lui était venue après la possible grossesse de sa mère, elle avait rêvé de cet être encore innocent, à qui il fallait tout apprendre. Un enfant pour grandir. Puis il y avait ce Léon, ce jour où Nine était triste après une dispute avec sa mère, elle parlait encore de suicide pour faire son intéressante, comme une enfant. Il lui avait dit : « On pourrait faire semblant d'avoir des gosses, ça te ferait du bien. Allez, meurs pas, s'il te plait ! ». C'était simple, il n'y avait pas d'amour, juste une névrosée et un gars, juste deux amis. Deux ans après, Nine se sentait de plus en plus seule, délaissée. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle repensait souvent à ses moments avec Léon et elle souriait souvent toute seule, dans la rue, en attendant le bus… Elle souriait aussi de cette façon en pensant à Amaury, mais elle ne l'avait pas perdu. Léon si et, pathétique, elle se raccrochait à ce rêve d'amour où elle voulait oublier tout nuage.
Nine. Tellement dit et en même temps si peu. C'était un paradoxe, une fille. Elle finit par grandir, mais quelle triste vie. N'était-ce pas meilleur de vivre dans le rêve ? Au moins, on vivait pleinement dans sa bulle, mais ça s'appelait de la démence. Banale vie d'une femme et de son homme, Nine et Amaury. Plus amis qu'amants, mais peu importe ils étaient heureux ensembles à se moquer amèrement des autres, à se disputer pour une divergence d'opinions… L'oublie des autres et des rêves. L'exacerbation de la réalité. Seuls leurs importaient : Faire chier les autres et leurs nombrils
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| | | Evasion Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Ven 9 Avr - 20:01 | |
| - Citation :
- Un homme de trois ans son ainé et avec un bon humour ?
>> Je vais t'avouer que je n'ai pas compris totalement le sens de cette phrase. Avec un petit peu de ponctuation se serait mieux, nan ? A toi de voir... - Citation :
- Le soir où ils se sont parlé
>> Parlés* - Citation :
- Etaient-ils comme ça lorsqu'ils étaient eux même jeune ?
>> Jeunes* C'est eux qui étaient jeunes. - Citation :
- Elle ne s'intéressait pas trop à ses souvenirs, elle se contentait de vivre l'instant présent, et pensait souvent à des souvenirs comme des exemples à ses réflexions. De cette façon ca lui arrivait de se rappeler de mauvais souvenirs.
>> Aaargh ! Trop de répétitions en quelques phrases ! - Citation :
- Elle en parlait tout le temps, sans arrêt (pléonasme indésirable ?)
>> Moi j'aime bien. Ça renforce l'idée du "tout le temps". - Citation :
- Mais un jour elle supprima tout sur lui.
>> Si j'ai bien compris la phrase, elle veut supprimer toutes ses traces... Si c'est ça, je trouve que cela fait mieux tourné comme ça : "Mais un jour, elle supprima tout de lui." - Citation :
- La plupart des gens ont peur de vieillir, car c'est l'épilogue de la vie et le prologue de la mort.
>> Très poétique. J'aime - Citation :
- La mort, c'est peut-être la tranquillité, le vide. Mais peu de gens aiment le vide.
>> Nouveau coup de cœur ! J'aime beaucoup aussi. Pas finit de lire la suite mais je dois y aller Je lis la fin quand je reviens et te dis mon commentaire globale après ! En tout cas, j'aime toujours cette histoire ! | |
| | | Evasion Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Sam 10 Avr - 19:34 | |
| Donc la suite... - Citation :
- Puis il y avait ce Léon, ce jour où Nine était triste après une dispute avec sa mère, elle parlait encore de suicide pour faire son intéressante, comme une enfant.
>> J'aime pas cette phrase... Elle est trop longue et on ne comprend pas trop de qui elle parle... J'aurais mis un truc du genre : " Puis il y avait ce Léon . Ce jour où Nine était triste après une dispute avec sa mère, elle lui parlait encore de suicide pour faire son intéressante, comme une enfant." J'aime particulièrement le dernier paragraphe. Très bonne conclusion ! J'ai accroché du début à la fin ! Ton style est fluide, agréable à lire. Mais cette façon de passer d'un chose à l'autre est plutôt énervante. Dans certain tu l'as fait et je trouve ça très bien mais je pense que par paragraphe, tu devrais montrer l'exemple avec un moment de sa vie. J'ai une autre question... Amaury, nous, lecteurs, on est censé l'apprécier ? Parce que moi, je le trouve plutôt détestable ! Avec ce côté terre à terre et intello ! Rah... Il m'énerve ! Si c'est fait exprès, bien joué ! Et pour ce qui est de Nine, je la trouve toujours aussi attachante ! Voilà ! | |
| | | Lacrima Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Sam 10 Avr - 19:40 | |
| XD Amaury existe... heureusement, il ne lira jamais ça XDD. Nan, mais je ne voulais pas spécialement lui donner un air détestable... mais c'est Amaury, il est très gentil, mais quand c'est pour le bien de Nine, il peut être très méchant...
Je suis entrain de réécrire... et finalement le passage du 2 les "Juillet" et "Aout"... Le Aout je vais le mettre à la troisième partie... Vu que mon Amaury m'avait fait remarqué qu'il n'y avait pas vraiment d'intrigue et que ça devait être ennuyant à MOURIR ! Donc voilà... et je rajouterai un personnage en plus...
Je posterai peut-être la réécriture ici... vu que tu sembles être la seule à suivre XDD
Merci beaucoup de me lire ! | |
| | | Evasion Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Sam 10 Avr - 21:13 | |
| C'est vrai que avec les paragraphes où tu racontes "le bilan" de sa vie devient un peu ennuyeux vers la fin mais là, ça ne m'a pas réellement déranger. Hâte de voir la réécriture alors | |
| | | See' Plume Souvenir
| Sujet: Re: Des mots Lun 12 Avr - 13:02 | |
| Pas mal au niveau de l'histoire, l'idée est intéressante. Par contre attention aux fautes... Evasion en a relevé pas mal déjà, voilà celles que j'ai retrouvées : - Citation :
- Nine aimait rêver dans ce paradoxe
On rêve d'un paradoxe, pas dans un paradoxe. - Citation :
- Nine aimait rêver dans ce paradoxe, car, ce rêve, elle le contrôlait. Cette enfant immature l’avait compris. Mais elle oubliait que la vie n'était pas un rêve.
Attention à la répétition. - Citation :
- qui la gâtait (jusqu’à la moelle).
Plutôt gâterait. Et ce qu'il y a entre parenthèses n'est pas très... - Citation :
- Jusque là, elle n’a jamais grandi, elle est restée dans son monde. Ne pouvant guère se rendre compte des autres dans son monde mêlé de réalité.
Répétition de "monde". Essaye de ne faire qu'une phrase, ce sera plus agréable à la lecture. - Citation :
- au près de son meilleur ami
auprès* - Citation :
- entrain de lire.
en train* - Citation :
- tu n'es pas aussi conne
"assez" plutôt que "aussi" - Citation :
- Arrête de jouer à l'intéressante, si tu t'ennuies je te fais la lecture.
J'aime pas cette phrase. Je la trouve assez maladroite en fait. - Citation :
- : regarde comment ma vie n'est pas meilleure
Une virgule après regarde et supprime le comment. - Citation :
- Qu'en dire de sa mère
Que dire* - Citation :
- l'avait souvent rejeté, méprisé.
rejetée, méprisée. - Citation :
- - Mais c'est quand même dur.
? - Citation :
- Pas autant, pas aussi fort, car aussi il y avait une souffrance
Pas tout compris là. Répétition de "aussi". - Citation :
- Mais le peu de confiance que Nine avait en elle, menait souvent les autres à la mettre en marge.
Pourquoi la virgule ? - Evasion a écrit:
- Citation :
- Nine se leva, emporta un châle et parti dehors, dans le jardin.
>> partie* Non, partit*, c'est du passé simple. - Evasion a écrit:
- Citation :
- C'était une enfant de quinze ans. Les seules personnes qu'elle ait vraiment aimées n'étaient qu'Amaury et Léon.
>> qu'elle avait* vraiment aimé* Non, c'est bien aimées. Par contre, j'aurai tout simplement mis de l'imparfait : les seules personnes qu'elle aimait vraiment... Sinon je trouve ça assez maladroit en fait. Voilà pour le début. Pas le temps de faire le reste là maintenant, mais je poste ça dés que possible. | |
| | | Lacrima Plume Solennelle
| Sujet: Re: Des mots Lun 12 Avr - 13:50 | |
| Oui ! Merci beaucoup Seeya ! ^^ Hier j'ai fais une rapide relecture et j'ai commencé la réécriture. XD j'aurai du appuyer sur le faite que c'est un brouillon... Pour la suite ce n'est pas la peine de continuer ^^, j'ai réécris presque toute la fin.
Je posterai surement la réécriture corrigée par un correcteur mercredi ou jeudi ^^ | |
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