Concours d'écriture !

Admin

Bonsoir à tous ! Le thème de ce soir laisse aussi place à l'imagination !
Vous avez toute la soirée pour inventer un récit de type apocalyptique qui décrira la fin du monde, de la longueure de votre choix.
A vos claviers !

Sage Plume

Un matin, en me réveillant, je fus surpris de l'environnement qui m'entourait. J'étais dressé sur mon lit dans sur une plaine dévastée, la terre était couleur de cendre et des vestiges d'arbres ou de constructions carbonisés peinaient à tenir droit. Mon lit était intact. J'étais surpris. J'avais peur.
C'est alors je je Le vis déambulant parmi cette terre ravagée. Il était habillé d'une longue toge rouge. Il semblait discuter avec une personne que je ne pus cerner du regard. Arrivant à ma hauteur et tournant la tête vers ma direction, il m'adressa un clin d'oeil tout en continuant son chemin. Son sourire me rendit confiance. Il me priait d'attendre, car il avait à faire avant que le monde ne soie jugé. Un avenir radieux s'offrait à moi.
(C'est un rêve que j'ai fait)

Admin

Pas mal ce petit texte^^. Pas d'autres volontaires ?

Sage Plume

J'étais mortellement bléssée, il me semble encore sentir le sang, son goût âpre.
Ma mémoire me faisait défaut, amnésique je le pensais jusqu'à l'instant même ou de ma main je touchais tout autour cette paroi extrêmement rigide, du bois?
Non, je le savais un cercueill de fer que je m'étais fait construire pour ne pas subir cette fin du monde.
Au delà du temps je devais survivre, et en fait je me retrouvais comme un satellite dans l'infini à tournér jusqu'à ma mort prochaine, dans la folie absolue !
Bienvenue en enfer!

Plume Légère

Lorsque les hommes torturés cesseront de crier, alors tu saura que c'est la fin du monde. Mais en réalité, je te souhaite de ne jamais le savoir.
Car ce ne sera point ton corps qui sentira la douleur extérieure, mais ce sera une douleur intérieure qui te détruira à petit feu, te consumera jusqu'à ce qu'il ne reste qu'une mince parcelle de vie en toi. Et, à ce moment là, la cruauté reprendra son cours puisque ta douleur cessera, et la vie reviendra irriguer ton corps. Ainsi, au moment où tu te croiras sorti du pire de tes cauchemards, la douleur reprendra et viendra torturer ton corps.
Les soubresauts de ton corps seront si violents que tu en cassera certaines de tes dents, et la dernière image que tu aura le loisir de voir, avant que tes yeux ne soient plongés dans la marre de tes larmes ensenglantées, sera le corps de tes camarades souffrant atrocement. Ils crieront comme jamais tu n'as entendu persone crier, à s'en casser les cordes vocales et briser ce qui reste de tes tympans.
Non, honnêtement, je te souhaite de ne jamais vivre cela, car le pire ne te sera pas de mourir, mais de continuer à vivre dans une douleur incessante avec une conscience toujours là pour te rappeler que, non, tu ne rêve pas.

Admin

Hum...on va essayer, mais ça va être totale improvisation^^.

Le soleil rougoieyait dans le ciel d'un noir de jais comme un tison incandescent. Partout autour de moi, des cris sugissaient dans une obscurité effrayant et glacée. Des mères criaient, des enfants pleuraient, et les hommes étaient pour la première fois confrontés à une incertitude totale. Je courais dans la ville, est le bruit de mes pas sur le macadam brûlant se confondait aisément avec les martèlements de mon coeur sur ma poitrine sanguinolente. La pression de l'air était devenue insoutenable, et deux mains de fer semblaient enfermer ma tête dans un étau d'acier. Je ne voyais plus. Une nuit éternelle s'était installée sur le monde, et nous étions condamnés à errer ainsi jusqu'à ce que la mort vienne nous chercher dans ses draps de velours noir. Elle apparaitrait alors comme une délivrance après que la Terre et ce dieu inconnu nous eussent infligé tous les supplices que la planète a par notre faute endurés.
Nous l'avons malaxée de nos idées perverses, vidée par notre soif assidue de pouvoir et de gloire, détruite par le feu de nos guerres et de nos conflits puériles. Elle se venge maintenant, et ce n'est que notre devoir de périr sous les flammes ardentes de sa colère. Trop longtemps nous nous sommes surestimés, trop longtemps nous avons instauré notre dictature infame sur les autres espèces, arborant si fièrement une suprématie que nous n'avions pas. Le prix à payer est cher, mais plus juste que toutes les actions de notre peuple.
La fin est proche.

Plume Solennelle

Il y a toi. Qu'est-ce que tu es beau, qu'est-ce que tu as su faire sourire mon coeur. Toi... Toi... Toi... Je ne peux m'en lasser, répeter ton nom sans cesse. Tu t'écoules entre mes lèvres comme le jus tendre d'un fruit mûre. Souris moi. Oui, comme ça. Toi, oh merveille ! Je fond sous ton regard. Encore un peu... juste un peu ! Jamais assez...

Il y a les autres aussi. Ceux qui savent si bien faire rire. Non ! Non ! N'arrêtez pas ! Vos notes cristallines enchantent mes oreilles sans fin. Chantez un peu. Anguleuses mélodies, trépidantes paroles. Continuez cette musique de vie.

Pourquoi ? Non...
Les larmes savent brouiller. Les sens savent se faire oublier. Mais le froid sait envahir...

Mélancolie... Nostalgie...
Gris. Gris. Gris. Tout s'enfuit...
Ne reste aucune perle de vie