Eh bien, voilà, il y a des jours où chacun de nos gestes nous semble inutile, où les rêves ce sont estompés dans un ciel embrumé et où le présent n'est plus qu'une voix lointaine. Où nos paroles résonnent comme celle d'un fantôme égaré. Il y a des jours où l'on se rend compte que les aiguilles des horloges ne change jamais de direction, où tout n'est qu'un cycle, une vieille rengaine qui se répète, encore et toujours. Ce moment s'appelle l'Ennui, il peut arriver au moment où on l'attend le moins, et, il est arrivé. Dès que je pose ma plume je ne sens plus rien, plus cet espoir, juste cette mélancolique qui ne peut se papler même à travers mille pages.
Donc, voilà, sous ce coup de nihilisme qui hélas, risque de durer bien longtemps, je vous dit aurevoir, je n'ai plus de foyer, la littérature me semble trop hostile à présent.